PORTRAIT de Laurène Sudour, COACH sympathisante

En quelques mots, peux-tu te présenter ?

Je m’appelle Laurène, j’ai 38 ans, je suis mère de deux enfants. Je suis hypersensible et j’aime beaucoup écrire pour poser mes émotions sur le papier. J’aime également me promener en montagne, le contact avec la nature me permet de me ressourcer, de me sentir connectée, à ma place.

En quelques phrases, quel a été ton parcours avant de devenir coach de vie ?

Je voulais avoir un impact positif sur le monde, être utile et à mon échelle contribuer à sauver la planète alors j’ai fait mes études en chimie de l’environnement et développement durable. J’ai été 16 ans responsable Hygiène Sécurité Environnement dans l’industrie avant de prendre un tournant radical et de m’intéresser au développement personnel.

En 1 phrase, pourquoi le choix d’être coach de vie ?

Parce que je crois que tout le monde s’est senti perdu un jour et qu’on aurait tous eu besoin de quelqu’un pour nous aider à retrouver notre chemin et moi je veux être ce GPS.

3 mots sur ce que le coaching t’a apporté-t’apporte sur un plan personnel ?

De l’ouverture à l’autre. Une meilleure compréhension des intentions positives cachées derrière les comportements. Une plus grande acceptation et bienveillance envers moi-même et les autres.

Que préfères-tu dans l’accompagnement coaching de vie ?

Entendre mes clients me dire à quel point ça a bouleversé leur vie pour le meilleur. Là je me sens utile, je sens que j’ai un vrai impact positif sur le monde.

Une chose à laquelle tu ne t’attendais pas en devenant coach de vie ?

Je ne m’attendais pas à rencontrer tant de gens avec les mêmes blessures que moi. Quand on a des difficultés, on a toujours l’impression que c’est plus simple pour les autres que pour soi. On ne se rend pas toujours compte que les autres aussi traversent des épreuves et sont eux aussi aux prises avec leurs croyances limitantes, leurs freins et leurs blocages.

As-tu une spécialité ou souhaites-tu te spécialiser ?

A terme je souhaiterai me spécialiser dans les relations parents-enfants. Comment mieux comprendre et communiquer avec ses enfants, comment apprendre les bases de la PNL aux enfants… pour qu’ils aient des relations apaisées aux autres et à eux-mêmes. Parce que les enfants sont l’avenir de l’humanité et que travailler leurs croyances avant qu’elles ne deviennent limitantes ne pourra que faire progresser le monde.

3 mots qui décrivent ce que va trouver une personne qui vient se faire coacher par toi

Une écoute active. Une attitude respectueuse et sans jugement. Une ouverture vers d’autres voies possibles

Dans 5 ans, tu te vois comment ?

Je me vois coach bien sûr mais aussi animer des ateliers dans les écoles, collèges et lycées pour apporter mon expertise des relations humaines au profit des jeunes. Avec une meilleure compréhension interpersonnelle, on pourrait désamorcer bien des conflits et s’épargner bien des blessures psychologiques car les mots sont une arme redoutable quand ils sont mal utilisés.

3 mots qui résument ce que tu es venu chercher en adhérant à la FCV ?

Un réseau de pairs. Donner de la crédibilité et du sérieux à ma pratique en intégrant une fédération reconnue.

Site Web : www.monaccompagnementcoaching.fr