Ou le conte de la fenêtre ouverte

Il était une fois… Parce que tous les contes commencent ainsi. Il était une fois… une fenêtre ouverte.

Pas entrouverte. Pas à moitié. Pas au trois quart. Ouverte. Pleinement. Entièrement. Sans condition.

Cette fenêtre n’était pas magique. Elle n’était pas dorée, ni suspendue dans les nuages. Elle était là, dans une pièce ordinaire, posée sur le mur d’une vie ordinaire. Mais elle avait un pouvoir extraordinaire : celui de laisser entrer le possible.

Le vent du réel

Les gens venaient la voir. Certains avec des valises pleines de « je dois », d’autres avec des sacs de « je ne suis pas assez », d’autres encore avec des « il faut que ». Et certains ne savaient même pas pourquoi ils étaient là… Mais ils sentaient qu’il y avait de l’air, et que cet air leur manquait.

La fenêtre ne parlait pas pour orienter, réparer ou assister.  Elle ne prodiguait pas de conseils. Elle était là, ouverte, disponible, présente.

Et dans cette ouverture, quelque chose se passait. Pas une illumination mystique. Pas une révélation tombée du ciel. Pas une injonction à changer. Mais une mise en mouvement concrète.

Le coaching de vie commence ici

Car une fenêtre ouverte, ce n’est pas juste un moment contemplatif. C’est la base même du coaching de vie.

C’est l’espace où le client peut respirer ce qui est là, sans filtre. Observer sans se juger. Clarifier ce qui compte vraiment pour lui. Décider avec justesse sans précipitation. Transformer, non pas pour changer à tout prix mais pour évoluer librement.

Et cette transformation n’est pas un relooking de l’âme. Ni un « nouveau moi » en 30 jours. C’est seulement une transformation juste, adaptée à là où en est le client, à ce qu’il vit, à ce qu’il veut vraiment.

Une fenêtre, pas un miroir déformant

La fenêtre ne dit pas : « Tu dois devenir quelqu’un d’autre ». Elle dit simplement : « Regarde. Respire. Ressens. Choisis. Agis. Et dans cette simplicité, il y a une puissance folle.

Le coaching de vie, c’est ça : un espace ouvert, où l’on peut se rencontrer soi-même, se reconnecter à ses besoins profonds, et avancer avec clarté, efficience et joie.

Pas pour faire plaisir à la société. Pas pour cocher des cases. Mais pour vivre pleinement, là où l’on est, avec ce que l’on est.

Et personne n’a jamais refermé la fenêtre

Il était une fois une fenêtre ouverte. Et cette fenêtre, c’est vous. C’est chacun de nous.

Ou plutôt ce que vous pouvez devenir quand vous vous autorisez à ouvrir… votre fenêtre.

Pas à moitié. Pas en cachette. Mais pleinement.

Et si vous sentez le vent… c’est peut-être alors le moment de respirer, de choisir, et d’ouvrir votre propre fenêtre du possible.

Et depuis, personne n’a pu ou voulu la refermer…

Roger DAULIN Superviseur FCV coaching de vie

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